Voici un livre de poche publié en 1973, à la police de caractère de toute petite taille, au texte quasiment sans marges, comptant 450 pages, sans préface, à la couverture la plus horrible qui soit au monde ! Mais comment et pourquoi me suis-je procurée ce livre ? Je ne sais plus. Ce que je sais, c’est que j’aurais dû le lire quand j’étais jeune, cela aurait bouleversé ma vision des femmes, ma vision de moi-même. Aujourd’hui, après avoir lu George Sand, Mary Wollstonecraft,...